Certaines pathologies semblent ne pas s’améliorer, ou peu, malgré les traitements Reiki et ce, semble-t-il, pour la raison que tant que la cause n’a pas été touchée, aucun résultat probant ne peut être constaté. D’où mon questionnement : si nous ne connaissons pas la cause, l’énergie Reiki, elle, a cette intelligence de savoir aller à la cause, n’est-ce pas ? Connecter la personne à un symbole va l’amener à clarifier son espace intérieur et peut-être à trouver cette cause… mais si elle ne la trouve pas, le Reiki va quand même agir (à un niveau dont nous n’avons pas spécialement besoin d’être conscient), n’est-ce pas ? Est-il donc nécessaire d’amener à notre connaissance la cause pour que l’énergie Reiki agisse ?
Oui, l’énergie Reiki sait où aller toute seule et il y aura toujours un bon effet, sachant que :
– la plupart du temps, la personne concernée ne reçoit pas assez de Reiki. En effet, recevoir une séance de temps en temps c’est agréable, mais cela ne pourra pas inverser le processus intérieur, surtout quand il s’agit de situations graves. Je préconise de commencer par les quatre séances consécutives. Ensuite, on décide avec la personne si on continue, à quelle fréquence et pendant combien de temps.
– même si la personne reçoit beaucoup de séances, si elle continue à entretenir d’une façon quelconque son problème, ce sera plutôt difficile. D’où le besoin de connaître la cause pour la diminuer ou même l’éliminer. Ce sera toujours l’énergie Reiki qui fera le travail puisque nous ne sommes pas des psychothérapeutes. Mais si la personne vit tout cela en conscience, c’est tout à fait autre chose. Un changement dans la tête et le cœur de la personne sera toujours bénéfique.
– la personne n’a pas besoin de passer par ce qu’on appelle une « guérison » dans l’immédiat. Si on accepte l’idée que le Reiki agit pour le plus grand bien de la personne et si la personne a reçu tout le Reiki nécessaire, autant que possible, si la personne a fait une démarche consciente et, apparemment, il n’y a toujours pas de résultat « positif », on peut se poser la question sur cet aspect : quel est le plus grand bien pour la personne ? Je sais, c’est difficile à accepter, mais parmi toutes les questions que l’on se pose, c’est une question valable.