Etude sur l’Antahkarana

Je suis en joie de partager avec vous mes expériences de travail sur l’Antahkarana.

Je m’appelle Megumi, je suis une Japonaise née au Japon, et vis à Paris depuis plus de 15 ans. Initiée au Reiki en 2016, je me passionne totalement pour cette discipline depuis lors et vis chaque instant à travers le Reiki.

Plus mon cheminement avec le Reiki progresse, plus je découvre l’Univers et mon Être.

Au fil de mes découvertes sur le Reiki, j’ai été intriguée par la branche tibétaine et le lien qu’il existe entre Tibet et Reiki. J’ai alors regardé la construction de l’Antahkarana, puis ai décidé de travailler avec.

Préparation

  1. Revoir les dessins de tous les symboles initiés et leur prononciation, il faut tenter de se rapprocher au plus près de l’enseignement.

Prononcer ensuite le nom du symbole 3 fois en même temps qu’on commence à le dessiner et terminer la prononciation en même temps qu’on finit de dessiner le symbole.

On synchronise donc le son et le dessin – si possible.

(Dans un des enseignements sur la purification et la protection que j’ai reçus de la part d’un Yamabushi japonais, on syntonise le son [mantra] et le dessin [le mouvement des mains] et j’ai été inspirée pour sentir ce qui se passe. Bien sûr, ce que je dis ici, ce n’est que des suggestions, rien d’obligatoire).  

  1. Envoyer du Reiki dans l’ordre habituel, avec tous les symboles reçus en initiation, un par un (HSZSN, SHK, CKR, SKSK, DKM). Cet ordre est parfaitement fluide et adéquat pour le processus de guérison. Nous pourrons revenir sur ce sujet dans de futurs articles abordant KATAKAMUNA et KOTODAMA).

Par avance il est recommandé de définir le nombre de jours pendant lequel vous souhaitez envoyer du Reiki à chaque symbole (chacun choisit la durée de l’envoi). Et également d’envoyer à chaque effet du symbole pour mieux ressentir le résultat et l’expérience.

Exemple : avec SHK

  1. à ma connexion avec SHK,
  2. à tous mes schémas mentaux et émotionnels,
  3. à ma mémorisation,
  4. à tous mes schémas comportementaux répétitifs,
  5. à tous mes relationnels, toutes mes relations,
  6. à toutes mes dépendances,

et ainsi de suite…

Vient ensuite le travail avec l’Antahkarana

1ère partie de l’envoi sur la construction de l’Antahkarana

  1. à la construction de l’Antahkarana,
  2. à tous mes plans manasiques (HSZSN),
  3. à tous mes plans astraux (SHK),
  4. à tous mes plans bouddhiques (SHK),
  5. à tous mes plans éthéro-physiques (CKR),
  6. à tous mes plans atmiques (CKR),
  7. à tous mes plans monadiques (DKM),
  8. à toutes les inclusions et diffusions horizontales de l’Antahkarana (SKSK).

2e étape : envoi de Reiki sur le rayon de l’Antahkarana

1er rayon : Volonté

« J’affirme le fait ».

(Selon mon interprétation, ce rayon représente la naissance au monde physique, la manifestation physique).

2e rayon : Amour Sagesse

« Je vois la plus grande lumière ».

(Selon mon interprétation, ce rayon représente l’éclaircissement, l’apparition).

3e rayon : Intelligence active

« Je suis le dessin même ».

(Selon mon interprétation, ce rayon représente la reconnaissance, le positionnement, l’observation, le détachement).

4e rayon : Harmonie par le conflit

« Deux se fondent en un ».

(Selon mon interprétation, ce rayon représente l’intégration, l’union de la dualité en même temps que l’union des polarités, la circulation de l’énergie à l’horizontal).

5e rayon : Connaissance concrète ou science

« Trois mentaux s’unissent ».

(Selon mon interprétation, ce rayon représente la trinité, le point d’harmonie, le point d’observation, 3 individus se positionnent à leur place).

6e rayon : Dévotion et Idéalisme

« La lumière supérieure domine ». 

(Selon mon interprétation, ce rayon représente une autre direction indicative, le point de départ pour la manifestation).

7e rayon : Loi ou Ordre cérémonial

« Le supérieur et l’inférieur se rencontrent ».

(Selon mon interprétation, ce rayon évoque que la différence de niveaux crée le courant d’énergie, la circulation d’énergie horizontale et la circulation de l’énergie verticale apparaissent).

7bis rayon : Loi ou Ordre cérémonial annexe

« La fusion et l’unification du rayon de mon âme et du rayon de ma personnalité » (pour le plus grand bien de tous en harmonie avec l’Univers).

(Selon mon interprétation, ce rayon représente le rayon de mon âme [1ère circulation], le rayon de ma personnalité [2e circulation], deux circulations d’énergie créent une sphère lumineuse de guérison).

Ma compréhension et prise de conscience suite à ma pratique avec l’Antahkarana

Antahkarana et Yin Yang japonais

Ayant effectué ce travail, je vois un lien entre le Yin et Yang japonais et l’Antahkarana.

À ma connaissance, le dessin connu du Yin et Yang est souvent chinois.

Dans la mythologie japonaise, il y a 3 trésors qui se sont transmis d’empereur en empereur. L’un de ces trésors est MAGATAMA qui représente le Yang visible, il est complété par l’autre partie Yin qui est invisible, comme s’il n’y avait qu’un unique objet physique tangible. Le Yin Yang japonais est défini par la visibilité du Yang.

Ce n’est pas parce qu’on n’en voit qu’un élément constitutif que la partie invisible n’existe pas.

Comme pour une toupie, avec son mouvement spiralé, on aperçoit une 2e spirale tournant dans le sens inverse.

Si je dessinais ce que je suis en train d’expliquer, ce serait comme ceci : l’image du Yin Yang la plus connue se dessine par des lignes qui définissent des limites, et qu’on colorie en noir et blanc en suivant ces lignes, qui ne laissent pas de place de gris. Tandis que le Yin Yang japonais se dessine par l’ombre et la lumière sans ligne de définition. À ce moment-là, est-ce que vous percevez l’illimitation de la partie du Yin, l’ombre, l’invisible ?

Lorsque je me connecte avec le dessin de l’Antahkarana masculin, je sens l’énergie plus focalisante ou concentrante. Dans son dessin féminin, je sens l’énergie en expansion ou l’accueil infini. Lorsque les dessins des deux sont mis ensemble, du masculin émane une énergie semblable à un laser, du féminin sort une énergie qu’on peut assimiler à un récepteur. L’énergie masculine va vers la féminine. Je les utilise en sandwich.

On est fait de l’un et de l’autre. L’un comprend déjà l’autre. La lumière n’apparaît pas sans l’ombre, l’ombre n’apparaît pas sans lumière.

L’unification ou l’harmonisation de ces deux polarités du Yin, invisible, et du Yang, visible, commence à faire tourner une roue.

Ma compréhension de l’Antahkarana

Maintenant, revenons aux rayons de l’Antahkarana.

Jusqu’au 3e rayon de l’Antahkarana expliqué ci-dessus, on parle d’une extrémité de polarité, d’un point de départ, d’un point de naissance, de là où on est. On parle aussi de l’acceptation de soi, du positionnement de soi. C’est le pôle masculin qui est la concrétisation et la manifestation physique, donc l’apparition.

En même temps que l’acceptation de soi, le passage de mon être au 4e rayon déclenche l’apparition de la notion de l’autre : le pôle féminin.

La dualité provoque souvent le conflit.

On parle souvent de point d’équilibre, de centrage à l’aide d’un 3point qui est l’apparition du 3point de vue dans notre conscience.

Comment notre état d’être peut-il aller, ou se placer au point d’équilibre, au point de l’harmonisation, au centre ? Comment notre état peut-il être en harmonie ?

C’est en allant au 2point, de l’autre côté, à l’autre extrémité. C’est en sentant ce mouvement de déplacement de conscience au 2point au lieu de le renier ou de le rejeter, ou de vouloir rester au 1er point. C’est en allant à la rencontre du 2point.

Au 4rayon, grâce à ce conflit, on s’harmonise.

Avec la présence d’un conflit, on se fonde.

Ce mouvement du 1er point au 2point crée le mouvement circulaire.

Vous allez peut-être sentir un mouvement en horizontal comme MAWASHI.

On comprend par ce mouvement que l’énergie bouge, circule. On assiste à la naissance du temps.

Je pense que le dessin du Yin Yang le montre bien jusqu’à cette étape.

Une fois qu’on a accepté d’être l’autre côté, d’être l’autre extrémité, d’être intégré avec l’autre, on accepte de s’unir. Naturellement en 5rayon, les 3 points s’unissent déjà.

Sans passer par le 2point, on ne peut pas aller au 3point, au centre, au point d’équilibre.

Puis vient l’apparition de la notion de supérieur, la sensation de circulation d’énergie verticale au 6rayon. Notre conscience s’élève.

Avec cette notion, on pourrait travailler lors d’une difficulté d’ancrage.

Pour ma part, ce qui permet de s’élever nécessite d’abord de s’ancrer en profondeur, et pour pouvoir s’ancrer, il faudrait être en état d’harmonie, donc dans de la circulation horizontale.

Rappelez-vous tous les exercices de respiration et la méditation proposés par Nita.

Cela nous permettra de ressentir plus facilement le mouvement d’énergie verticale en 7rayon.

Mawashi est un excellent exercice pour sentir la circulation horizontale.

Et le Reiki-undo nous permet également de ressentir le mouvement d’énergie, de l’exprimer et le manifester.

La croix cosmique

Dans le dessin de la croix cosmique de l’Antahkarana, il y a une croix sans le cadre, sans la ligne de limitation.

Lorsqu’on la regarde sous une certaine perspective, les 2 anneaux deviennent une croix.

Il suffit de se déplacer pour s’apercevoir de la profondeur.

Il existe également une grande sphère de guérison composée de deux cercles.

Sa taille n’a pas de limite : elle se définit selon la taille énergétique des deux anneaux.

D’ailleurs ces deux anneaux sont aussi sans limite. J’adore ça !!

Lorsqu’on découpe, naturellement on définit un cadre en suivant la croix. C’est comme ça qu’on le limite, qu’on définit la taille du dessin.

Ce dessin de la croix définit juste le point de croisement, soit le centre d’une grande sphère.

Pourquoi le Mandala tibétain, normalement en 3D, est-il représenté en 2D ?

L’univers est dessiné sous forme de Mandala et dans l’enseignement ésotérique tibétain, on s’en sert pour méditer. C’est pour pouvoir retrouver le centre dans l’univers en se déplaçant.

D’ailleurs, l’univers en Mandala tibétain est souvent défini en carré.

La sphère de guérison

J’ai appris l’existence de cette sphère d’énergie que l’on appelle MISUMARUNOTAMA lors d’un travail de Kotodama en KATAKAMUNA.

KATAKAMUNA est composé de 80 vers avec des idéogrammes japonais différents des idéogrammes officiels, qui se dessinent en spirale, et dont les origines remontent à très loin. Cet enseignement n’est à ma connaissance pas encore traduit dans une autre langue. (Avec KATAKAMUNA, j’ai également découvert les effets des vibrations de chaque syllabe japonaise et les mouvements des énergies véhiculées par le son de chaque syllabe japonaise. C’est une démarche très intéressante et complémentaire pour sentir tous les symboles USUI et la logique de l’ordre de l’activation des symboles. J’en parlerai à une autre occasion).

Après ce travail sur les KATAKAMUNA, j’ai également reconnu cette sphère de guérison avec l’Antahkarana. Peut-être même que l’Antahkarana m’a renvoyée à un autre enseignement de ma langue pour mieux le comprendre.

J’observe qu’il y a deux façons de composer une sphère en général : l’une est avec deux spirales de sens opposé comme le Yin et le Yang, la seconde avec deux anneaux comme dans l’Antahkarana.

L’Antahkarana et les 5 Idéaux du Reiki

Jusqu’au 3rayon de l’Antahkarana, on parle de notre état d’être.

Cette construction me rappelle celle des 5 Idéaux du Reiki.

1 – ???????? (juste aujourd’hui ne vous mettez pas en colère),

2 – ????(juste aujourd’hui ne soyez pas inquiet),

3 – ???? (Soyez reconnaissant),

4 – ???? (Encouragez-vous à pratiquer),

5 – ?????? (Soyez bienveillant envers les autres).

Jusqu’à la 3partie, on parle de notre état d’être comme jusqu’au 3rayon de l’Antahkarana.

Et à partir de la 4e, on parle d’action à partir de cet état d’être, plus précisément d’un état de grâce passant par le relâchement total de l’attente, puis par la concentration sur l’ici et le maintenant.

Avec cet état, on passe à l’action, c’est le mouvement, d’abord sur soi-même ensuite pour les autres.

Visualisez-vous ces déplacements de votre état d’être ? Visualisez-vous ces déplacements de votre point de vue ?

Pour ressentir ces phénomènes encore plus, il serait donc intéressant de travailler :

– avec Kotodama et les symboles USUI, en prononçant bien chaque syllabe de Kotodama en observant comment bougent ou s’étendent les symboles en prononçant le Kotodama.

(En faisant la méditation avec les symboles Reiki ou un dessin comme le Yantra dans le Yoga, ou alors bien avec le mandala tibétain, donc avec un visuel, à un moment donné je commence à vivre un phénomène où les dessins commencent à bouger et se déformer. Également, en faisant la méditation en chantant un Kotodama et en visualisant le symbole correspondant à ce Kotodama, à partir du moment où je suis bien centrée et connectée à la vibration du Kotodama, le dessin commence à se déformer ou à prendre de la profondeur en 3D) ;

– sur la respiration et surtout l’expiration qui me paraît plus importante.

Exemple de travail sur l’expiration :

Lors de l’auto-traitement, expirez bien avant de passer au symbole ou au Kotodama suivant. C’est-à-dire qu’on termine bien un symbole par l’expiration. Puis on inspire et on prononce le symbole suivant.

Autre exemple :

Lors de l’exercice de la méditation et protection avec le symbole de maître (c’est super !), pour sentir le cercle horizontal et le cercle vertical : utilisez MAWASHI et la méthode de la respiration présentée avec Jôshin kokyû Hô dans le Manuel du 3degré, p. 49. 

Pratique quotidienne ludique

Une fois habituée à la sensation et à la visualisation de ces déplacements de conscience ou de mon état d’être avec l’Antahakarana, je m’amuse à me donner « l’autorisation au quotidien ».

Dès que j’ai une réaction désagréable vis-à-vis d’une personne, d’une situation, ou d’un événement, j’en profite pour me donner l’autorisation d’être comme cette personne désagréable ou de me placer dans cette situation désagréable, en visualisant le plan de polarité de l’Antahkarana.

Visualisez bien les deux pôles, je me place au 1er point, je place cette personne au 2point, ou alors si c’est le cas d’une situation, la situation que je ne souhaite pas est en 2point.

C’est moi qui me déplace au 2point en disant que je m’autorise à être comme cette personne désagréable au lieu de réagir à cette personne.

Je me permets d’être comme cette personne. Même si je travaille avec les 5 Idéaux du Reiki, je ne cache pas d’avoir des réactions émotionnelles au quotidien, de ressentir des résonnances peu agréables en moi.

Je me permets d’être comme cette personne ou d’être dans cette situation désagréable au lieu de vouloir faire quoi que ce soit à cette personne ou à ce fait.

Ainsi on peut avoir une résistance ou un blocage très fort. A ce moment-là, je mets SHK, ou je fais Seiheki chiryô. L’apaisement arrive et on sent quelque chose se diluer. 

Ce n’est que la question de soi.

Je ne passe pas à l’action tant que mon état d’être n’est pas en harmonie, ni ne me comporte comme cette personne en réalité. Peu importent cette personne et cette situation.

Je profite de chaque réaction désagréable en moi provoquée par ces personnes ou ces situations, ou événements, pour m’autoriser à être l’autre côté, l’autre être dont souvent je ne voulais pas admettre l’existence en moi.

Naturellement, il n’y a plus de conflit intérieur puisque je suis au centre, à l’harmonie.

Naturellement, je me suis libérée du conflit intérieur sans conflit. C’est l’harmonisation par le conflit. Donc je ne réagis plus vis-à-vis de cette personne.

Si je me pardonne d’être dans n’importe quel état d’être, je me retrouve naturellement en harmonie.

Mon parcours du Mont Kurama à l’Antahkarana

Avec tous ces travaux avec l’Antahkarana, j’ai été guidée par un guide spirituel, un ascète et mystique japonais, Enno Ozunu, qui m’est apparu lors de la « méditation avec le guide Reiki » animée par Nita.

Enno Ozunu m’a laissé une syllabe ou une graine ésotérique japonaise comme cadeau. Cette graine était un peu floue. C’était un BIJA (graine). J’ai cherché sa signification, n’ayant aucune connaissance sur l’ésotérisme japonais ni sur le BIJA, je ne savais pas que cette graine représentait une divinité ésotérique (donc une déité). Le décodage du BIJA en question m’a apporté trois possibilités de déités dont l’une est Kujaku-myô-ô représentée par un paon. Malgré ces 3 noms, il était difficile de déterminer laquelle m’avait été transmise. Pendant un certain temps, j’ai arrêté de chercher.

Lors de ma première visite au Mont Kurama en 2017, ayant été initiée au Reiki, j’ai été intriguée par la géométrie sacrée sculptée sur le sol de pierre devant le temple principal.

De retour en France, j’ai procédé à un envoi de Reiki puis travaillé avec pendant mon auto-traitement. J’ai alors reçu le nom d’une des déités du Mont Kurama, Sanat Kumara. Encore cette fois, je n’ai pas réussi à obtenir beaucoup d’informations sur cette déité.

Juste deux ou trois mois avant l’envoi sur l’Antahkarana, je m’amusais à sentir et voir les images qui venaient en posant mes mains activées en Reiki sur les photos des chamans. JE NE FAISAIS PAS D’ENVOI.

Il y a un célèbre chaman népalais sur lequel je voyais souvent un paon. Je ne voyais pas le lien entre le Mont Kurama, Sanat Kumara et le paon.

Plus tard, j’ai posé une question à ce chaman sur un tout autre sujet, mais au fil de la conversation, le chaman népalais m’a montré par hasard l’image d’une déité accompagnée d’un paon, avec un nom népalais, Murugana Kumara. J’ai reconnu par la similitude du nom (Sanat Kumara) et par le paon que cette déité à la fois Sanat Kumara, Murugana Kumara et Kujaku-myô-ô. Je suis tombée de ma chaise !

Je lui ai demandé si c’était possible qu’il y ait un lien entre Murugana Kumara et Sanat Kumara et il a confirmé que c’était probablement la même famille qu’une déité hindoue (Muruga). C’est alors que j’ai cherché puis trouvé ce nom en hindou : cette déité a plusieurs noms selon les religions. J’ai fini par la trouver avec son nom en népalais, hindou et japonais !

Cette déité agit sur le cœur d’une façon différente de SKSK, de Harth et de Shanti (symboles Karuna), bien que semblable.

(Dans le bouddhique ésotérique japonais, chaque BIJA comporte un son donc une syllabe et un mantra, et un mudra, et chaque BIJA représente une déité qui a un ou plusieurs effets. Notamment Kujaku-myô-ô qui agit sur le cœur. J’ai expérimenté pour mon auto-traitement en me connectant et demandant d’être présente à cette déité pendant 21 jours. Les effets ressentis sur moi étaient donc semblables et en même temps différents de SKSK et des symboles Karuna.

Reste à découvrir pour moi le lien et la confirmation entre cette déité et Maô-son, puis une autre enquête sur le symbole SHK.

Le parcours m’a pris quatre ans jusqu’à ce stade !

Et il n’est pas terminé, notamment avec la méditation avec chaque rayon et chaque construction Antahkarana.

Plus je travaille avec le Reiki, plus les possibilités s’ouvrent à moi. Je suis guidée, je suis dans la synchronisation totale, en mode « pilotage automatique ».

Le Reiki est le pont de lumière, un outil excellent qui m’amène à me rappeler qui je suis, mon Moi authentique, mon Être authentique. Rien que de savoir qui je suis est la voie de guérison, et la voie de l’harmonie. 

Megumi NAKAJIAMA
0627141985
megnak88@gmail.com

Note

Je remercie Nita qui m’a donné la chance de publier mes recherches personnelles.

Et je remercie infiniment Fabien LEROY d’avoir corrigé ce texte avec son amitié et sa bienveillance. 

Également un grand remerciement à Mathilde AUVRAY d’avoir retravaillé avec sa compréhension et sa bienveillance. 

Je suis bénie… comme mon prénom l’indique !