Depuis mon premier degré, je n’arrive pas à être pleinement en accord avec le
coût de la Maîtrise. Dire que quand on est prèt, on trouve l’argent nécessaire
c’est vrai : je fait partie de ceux qui peuvent l’attester ou du moins, j’ai
pris la décision et j’au su comment me procurer l’argent nécessaire.
Toutefois, je ne peux m’empêcher de penser que c’est quand même, dans une
certaine mesure une sélection par l’argent, en effet, en fonction de notre
capacité financière 1850 euros pour certains a la même valeur que 182 euros
pour d’autres. Nous n’avons pas tous le le même train de vie. Même si nous
pouvons créer l’abondance dans notre vie, nous ne partons pas tous du même
niveau. Je ne peux m’empêcher de penser que c’est quand même plus facile
pour certains que pour d’autres, comme si la valeur de chacun semblait
dépendre de son compte en banque…Je sais que ce n’est pas fondamentalement
vrai mais quelque chose coince, peut-être mon vieux sentiment d’injustice
sociale…hérité de mes origines prolétaires comme on disait il y a 25,
30 ans !!
Je suis d’accord avec toi concernant le prix de la Maîtrise. Cependant, je n’ai pas
trouvé une autre méthode qui fonctionne mieux. Baisser le prix….à combien ??? on
sera tourjours dans la même situation (1850 euros pour certains a la même valeur que
182 euros ). Faire le tri (tu es prêt – tu n’es pas prêt) c’est dur et trop facile de
se tromper et qussi de stimuler l’égo (on a du pouvoir).
Tu as trouvé l’argent, je l’ai trouvé, nous avons trouvé l’enseignant qu’il nous fallait
au moment respectif et grace à tout cela nous connaissons la valeur et l’importance de
l’argent. On pourra ainsi montrer de la compassion dans les cas où on voit que la
personne a besoin réellement et on restera sur nos positions dans les autres cas. Tu
sais que j’accepte des paiement échelonnés pour tous les degré, sauf pour la Maîtrise.
Cette idée rentre dans la même logique : -obliger- la personne à se demander dans quelle
mesure elle est prète à s’investir.Je sais que ma réponse n’est pas à 100% satisfaisante.
Mais pour l’instant, je n’en ai pas d’autre.